L’évènement
Marquisattack est un weekend de rencontres autour de l’étude et de la pratique des Arts Martiaux Historiques Européens (AMHE). Il est organisé par le CELACAMTHE depuis 2019, dans le gymnase des Marquisats (54B avenue des Marquisats, 74000 Annecy).
La 4e édition aura lieu le weekend du 17 & 18 Février, à partir de 10h. Les informations pratiques seront diffusées préalablement à l’évènement sur cette page, sur Facebook, sur Discord, et envoyées par e-mail aux personnes inscrites.
Participation aux frais – 10€
Guide de survie
Le guide de survie de l’évènement
Inscription
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Les inscriptions sont désormais closes – une liste d’attente a été ouverte. Contactez CELACAMTHE@gmail.com pour y être ajouté
Tournoi
L’inspection du matériel et la répartition des équipes aura lieu le samedi matin.
Le tournoi aura lieu le samedi après-midi.
Lisez le règlement du tournoi !
Programme
L’évènement est structuré autour d’un programme triptyque qui valorise tous les aspects de l’étude et de la pratique des Arts Martiaux Historiques :
– Trois conférences et deux tables rondes pour la diffusion des travaux scientifiques et du travail intellectuel de la communauté
– Une dizaine d’ateliers pour apprendre à mettre en pratique le contenu des sources de combat.
– Un tournoi pour jouer, démontrer ses compétences et se tester.
Ateliers
Godefroy Lafayolle de la Bruyère (CAMHEM, Metz) est pratiquant d’AMHE depuis plus de 10 ans, principalement autour des sources germaniques XVIe (Joachim Meyer) et de Destreza. Actuellement licencié à CAMHEM, à Metz où il développe le pôle Destreza, il est également engagé sur le plan fédéral, au CA de la FFAMHE depuis 5 ans et actuellement Président.
Son atelier est axé sur la source de Luis Diaz de Viedma « Méthode d’enseignement des maîtres » et propose un travail sur les bases de la destreza. Plus particulièrement le travail proposé porte sur les premières pièces autour des atajo de ligne en croix, de faible sous le fort, et la général basse. De façon secondaire l’atelier cherche également à apporter des réflexions autour de la pédagogie et sur les pièces abordées.
Clément Desoche (Lugdunenses, Lyon ) assurera un atelier d’épée & bocle. Il a commencé les AMHE en 2013 à la Confrérie de la Corneille, puis a rejoint De Taille et d’Estoc en 2014. Depuis 2015, il est membre de Lugdunenses où il pratique l’escrime selon le MS 1.33.
Son atelier portera sur le travail du liage, qui est une part importante de cette forme de combat. Dans le manuscrit, les auteurs distinguent quatre positions de liage. Nous verrons comment les identifier , ainsi que quelques techniques pouvant être exécutées à partir des ces positions. Puis comment travailler ces techniques pour aller vers une application en sparring, à travers un exercice qui servira de fil rouge à l’atelier.
Klara Balić (actuellement de Ochs – Historische Kampfkünste. e.V.) pratique les AMHE depuis fin 2016 et depuis 2020, done des cours fondamentaux d’épée longue et de lutte en Autriche et en France, tous basés sur les sources allemandes.
Dans cet atelier, on ira à l’encontre de nos partenaires à l’aide des techniques de lutte à l’épée longue décrites dans des différentes gloses des Zettels de Liechtenauer. On apprendra enfin la réponse à ces questions pertinentes de la vie comme: Que puis-je faire dans différentes mesures ? Comment projeter quelqu’un avec une épée dans la main? Et peut-être la question la plus importante…mais ** est-ce que ça marche en sparring ?!
Sébastien Schwab (GAGSchola, Genève) donne chaque semaine le cours de messer depuis 2019. Pratiquant les AMHE depuis 2017, il délaisse rapidement l’épée longue pour faire du Langmesser, sur lequel portera son atelier.
« du hast manigerlay stuck vnd pruch Schimpfflich vnd ernnstlich gefellt dir eynes nicht so nym eyn anders wer dy ding recht verstett vnd ytlichs zu seyner zeytt treyben kan dem gefallen dyse ding ». Tu as de nombreuses pièces et parades pour t’amuser et être sérieux. Si l’une ne te plaît pas, prends en une autre. Celui qui les comprend correctement et les utilise au bon moment, à celui-ci, elles lui plairont. » Le combat a l’épée en tant que sport bourgeois, a ses racines dans dans le moyen-age tardif, comme corollaire naturel de la montée en puissance du système de défense civique et du développement d’une culture du port de l’épée. La pratique n’étant pas exclusive au monde militaire et souvent mise en avant lors d’événements populaires, ou l’on pouvait montrer sa dextérité dans l’art de l’épée.
Eric Lebeau (De Taille et d’Estoc, Dijon). AMHEur depuis 2010 en plus de pratiquer l’épée longue, il encadre les séances de Broadsword depuis 2015 sur des traités du 16 ème au 19 ème siècles. Il est co-auteur avec Sebastien Vendroux de la traduction « the use of the broadsword », il travaille actuellement à la traduction du traité du Capitain G,Sinclair (Cudgel playing).
L’atelier portera sur l’escrime à la Broadsword d’après Thomas Page en se concentrant sur les concepts les plus utiles et les plus essentiels pour la pratique de cette arme. -Présentation succincte de l’arme et du contexte particulier de la gladiature (prize fight) -Gardes et déplacements -Equilibrio (de l’utilisation de sa main non armée pour augmenter et maintenir son équilibre) -Les notions : -Bearing (engagement) -Slip (esquive) -Battering (battement) et des sparrings libres pour leur mise en application
Nicolas « Vabo » Ferrand (AMHE Apicula Carcassonne) a commencé les AMHEs en 2014 à Lyon, dans le prestigieux club de Lugdunenses, a continué ses péripéties chez les chauvins mais non moins sympathiques bourguignons de De Taille et d’Estoc a poursuivi à Niort chez les méconnus mais talentueux meyeriste d’ EscriMédiévale17 pour finalement finir sa course dans le prodigieux club d’ AMHE Apicula Carcassonne
Son atelier est « une entrée en matière du jeu du liage en demi-épée chez Talhoffer, par le biais de trois pièces de clés du pommeau. La demi-épée est a mi-chemin entre le jeu du couteau et celui de la lance, un truc bien sale comme on l’aime tant… « (sic)
Nico Donnadieu (ELSAMHE, Strasbourg) traîne dans les salles d’armes depuis une quinzaine d’années. Débutant dans sa jeunesse par de l’escrime sportive, puis de l’escrime artistique à haut niveau, il pratique les AMHE depuis 2016. En partant du I.33, ses terrains de jeux actuels le portent vers les traditions italiennes.
Son atelier : « Et si un grand homme te paraît fort, l’intelligence te donnera ses faveurs » P. Vadi, Liber de gladiatoria dimicanti C.3
Du haut de mon 1m60 et de mes 55 kilos, la problématique qui m’a accompagné tout le long de mon parcours d’escrime est celle de la gestion de la force et de la taille de mes adversaires. Généralement désavantagé en termes de gabarit, j’ai très souvent eu des ennuis pour arriver à placer en assaut les techniques de mes manuels favoris. Ces difficultés n’étaient, par ailleurs, pas facilitées par les conseils de certains instructeurs qui, en croyant bien faire, ne portaient pas le bon regard sur le problème. Cependant, certains maîtres d’armes ont pu écrire de rares mention sur la différence de taille ou de force entre les adversaires. S’il ne s’agit alors par toujours d’une fatalité, il en reste que la stratégie d’un escrimeur plus petit et léger que son adversaire doit fortement s’adapter. Cet atelier propose alors une présentation (personnelle) des différentes stratégies applicables lors d’un désavantage physique, mais saura aussi trouver son public auprès des escrimeurs et escrimeurs de grande taille dans la démonstration de points techniques nécessitant une vigilance sous peine de donner un avantage à un adversaire avisé, quel que soit son gabarit.
Marie Poignant (De Feu et d’Acier, Clermont Ferrand) est entrée dans l’univers des AMHE en 2013 à De Taille et d’Estoc où elle a appris la rapière de tradition française et italienne. Récemment arrivée à Clermont-Ferrand, elle est instructrice de rapière à De Feu et d’Acier – AMHE Clermont depuis septembre dernier et s’intéresse depuis peu à l’escrime bolonaise et à l’épée de côté.
Leur atelier (avec Julien Dantec) : L’épée de côté ou la rapière sont souvent associées à l’usage d’une « main gauche » ; bocle, rodella, dague,… Mais l’existence de nombreuses interdictions concernant le port de dagues dans les cités italiennes dès le XVIe siècle ont poussé les auteurs de l’époque à imaginer des systèmes permettant d’utiliser l’épée avec un vêtement du quotidien : la cape. Loin de faire l’unanimité parmi les maitres d’armes du XVIe et XVIIe siècles, l’usage de la cape ou du manteau peut être associée à un jeu défensif et/ou offensif, mais le niveau de détail des techniques est très hétérogène en fonction des traités.
L’objectif de notre atelier et de faire découvrir deux visions du combat à l’épée et à la cape à travers l’étude de quelques extraits choisis du traité de Hieronime Calvacabo, maître d’armes de tradition bolonaise « Traité, ou instruction pour tirer des armes » (1595) et de quelques pièces extraites du traité de Salvator Fabris « De lo Schermo, overo Scienza d’Arme ».
Julien Dantec (Ex Machina, Reims) a commencé les AMHE en 2021 après une dizaine d’années de pratique et d’enseignement de l’escrime olympique. Etudiant principalement les sources du XVIIeme et XVIIIeme siecle il pratique et enseigne la rapière italienne au sein de l’@Ex Association Ex Machina de Reims depuis 2 ans et est également moniteur d’épée au cercle d’escrime de Châlons-en-Champagne.
Leur atelier (avec Marie Poignant) : L’épée de côté ou la rapière sont souvent associées à l’usage d’une « main gauche » ; bocle, rodella, dague,… Mais l’existence de nombreuses interdictions concernant le port de dagues dans les cités italiennes dès le XVIe siècle ont poussé les auteurs de l’époque à imaginer des systèmes permettant d’utiliser l’épée avec un vêtement du quotidien : la cape. Loin de faire l’unanimité parmi les maitres d’armes du XVIe et XVIIe siècles, l’usage de la cape ou du manteau peut être associée à un jeu défensif et/ou offensif, mais le niveau de détail des techniques est très hétérogène en fonction des traités.
L’objectif de notre atelier et de faire découvrir deux visions du combat à l’épée et à la cape à travers l’étude de quelques extraits choisis du traité de Hieronime Calvacabo, maître d’armes de tradition bolonaise « Traité, ou instruction pour tirer des armes » (1595) et de quelques pièces extraites du traité de Salvator Fabris « De lo Schermo, overo Scienza d’Arme ».
Thomas Pelosse (CARL, Lyon) est tireur de longue épée depuis 2018, il commence dans son jardin avec deux copains, un bout de manuscrit et une épée en bois avant de rejoindre rapidement un club. Pratiquant chevronné il s’entraîne à la Compagnie d’Armes de Lyon et à Lyon AMHE. On le croise fréquemment sur le circuit compétitif, maniant l’épée longue et l’épée de côté. Etudiant de la tradition Liechtenauerienne il vous transmet maintenant son savoir acquis à force de pratique et de coup d’épée dans la face.
L’objectif de cet atelier « Créez la faille » est tout simplement d’apprendre au tireur à crée une faille à exploiter dans le jeu adverse. Cela peut être une monté des bras, une attaque, un déplacement… Bref, un mouvement permettant de placer sa propre attaque ou son contre. Dans la première partie nous allons travailler l’approche « offensive », nous étudierons la création d’une ouverture chez l’adversaire. Dans la deuxième partie nous verront le rôle « défensif ». Nous travailleront le fait de provoquer une attaque adverse afin d’effectuer une contre-attaque adéquate. Cet atelier s’adresse à un public déjà expérimenté de prime abord mais a pour but d’être également abordable pour des débutants. Je souhaite montrer qu’avec un bagage réduit mais un peu d’astuce et d’observation un tireur peut proposer un jeu réfléchi.
Sven Horvatić (Militia Genevae, Genève) pratique les AMHE depuis plus de 10 ans. Il a commencé par étudier l’épée longue selon la tradition de Liechtenauer à Ars Gladiatoria Zagreb, Croatie. Plus tard, il est passé à des manuscrits plus modernes en suivant les enseignements de Meyer et du système bolonais. Il s’entraîne actuellement à Militia Genevae. Sven est fan de toutes les armes, mais il se concentre surtout sur l’épée de côté et l’épée longue. Il aime aussi les longues promenades sur la plage et le chocolat chaud avec un peu de rhum.
Son atelier : Que diriez-vous si je vous disais que les films se trompent sur l’escrime environ 50 % du temps ? Attendez, attendez ! Avant que vous ne commenciez à me jeter des fruits à la figure, permettez-moi d’insister sur le fait que j’ai des preuves, et qu’elles se trouvent dans l’Anonimo !
Dans cet atelier, je présenterai quelques principes de l’Anonimo qui peuvent aider à décider ce qu’il faut faire quand on est en gioco larga (loin de l’adversaire) ou en gioco stretta (dans la zone de danger). Principalement, comment utiliser le gioco larga et faire en sorte que vos jeux fonctionnent ! Avec un peu de chance, je pourrais aussi vous convaincre de transformer vos commentaires sur les combats dans les films de « c’est irréaliste » à « eh, ça pourrait être mieux ».
Conférences
Damien Olivier Jimenez est pratiquant d’AMHE depuis plus de 10 ans, principalement autour des sources germaniques d’épée longue et de Destreza.
Il présentera une conférence sur la classification des épées de cour – épées à poignée d’acier dont voici l’abstract : Les épées de cour trouvent leur origine au milieu du XVIIe siècle comme une forme épurée de rapière. Avec des ornementations initialement similaires, elles vont rapidement se différencier à la fin du XVIIe en suivant l’évolution des arts décoratifs. Restant à ce jour sous-étudiées, ces motifs constituent un élément d’identification de premier choix. Les ouvrages sur les armes blanches ne les traitent que sporadiquement et bien que A. Norman propose une méthode efficace pour la classification des rapières, elle reste peu adaptée aux épées de cour qui peuvent être discriminées par les ornementations de leurs montures plutôt que par leurs formes [1]. D’autres livres leur sont dédiés, comme celui de J. Aylward sur les épées anglaises [2] et celui de B. Dupont sur les épées à poignée d’acier [3], mais aucune publication ne couvre l’intégralité des épées de cour. Par ailleurs, les études sur ces épées sont menées sur une quantité limitée d’exemplaires : collections privées ou pièces remarquables de musées ; ce qui soulève la question de la représentativité des échantillons, chaque pièce étant unique. La numérisation des collections de musées et les sites de vente aux enchères ouvrent l’accès à une quantité inédite de données. Ce travail en prend avantage et propose une méthode de classification des épées basée sur des descripteurs et l’usage d’outils statistiques. Une base de données a été créée en téléchargeant 130 000 objets militaria, dont 3000 épées de cour. Une première classification a été réalisée sur la sous-partie correspondant aux poignées d’acier.
- [1] The Rapier and Small-Sword, 1460-1820, Arms & Armour Press, A. V. B. Norman (1979)
- [2] The small-sword in England, Hutchinson, J. D. Aylward (1945).
- [3] Diamanté Cut-Steel Swords, White Note Editions, B. Dupont (2020).
Marc Olivier Blattlin (De Taille et d’Estoc, Dijon) a commencé les AMHE en 2011 dans l’ouest de la France , et il est passé par plusieurs associations avant de devenir membre de De Taille et d’Estoc. Depuis, il a officié comme instructeur dans plusieurs associations et lors de nombreux stages. Son domaine d’étude dans les AMHE est l’escrime de la péninsule ibérique à la fin du XVIe siècle et début du XVIIe siècle (passage de l’escrime commune et le développement de la verdadera destreza)
L’abstract de sa conférence : En Espagne et Portugal, l’enseignement de l’escrime est cadré au plus haut niveau de la gouvernance de l’empire. De plus, les escrimes ibériques ont des identités particulièrement fortes, qui s’illustrent aujourd’hui dans les AMHE au travers de la destreza ou encore de la pratique de la montante (grande épée à deux mains). Cela nous permet de poser le contexte de la pratique et de l’enseignement de(s) l’escrime(s) à l’échelle de la plus grande puissance européenne de la fin du XVIe siècle. Le but de cette conférence est de balayer ce contexte : législation, structure de l’enseignement, sources et matériels, etc.
Lionel Lauvernay est escrimeur ; il a plus étudié les AMHE qu’il ne les a pratiqués. En 2005, il a traduit le traité de Giovan Lovino (16e siècle) ; en 2011, il participe à la transcription du Cabinet d’escrime du capitaine Péloquin (16e siècle), puis du Livre des leçons de Pedro de Heredia (16e siècle), proposant pour les deux des versions modernisées. En 2008, il publie La Belle Époque de l’Escrime (nouvelle édition à paraître en 2024). Dans les années 2010, il rassemble des sources d’escrime française sur son site Ensiludium (de Montarcis (1660), Beaupré (1721), Charpentié (1742), Balthazar (1750), Gordine (1754), Ô’Sullivan (1765), Brémond (1781), Quicque (1805)…). Depuis une vingtaine d’années, il se consacre à l’étude de l’escrime de la Belle Époque.
L’abstract de sa conférence : Jean Joseph-Renaud (1873-1953) était écrivain et a flirté avec le journalisme. Il a été l’auteur de plusieurs traités d’escrime, et a été parmi les meilleurs escrimeurs de la Belle Époque. Après avoir brillé au fleuret, il l’a quitté à l’orée du 20e siècle pour se consacrer à l’épée et devenir le grand thuriféraire de l’épéisme. Il a participé à de nombreuses compétitions internationales, avant la création de la fédération internationale d’escrime, et certains le qualifiaient de champion du monde d’épée à l’époque où un tel titre n’était pas décerné ! Également boxeur, il fut l’un des premiers Français à faire le voyage de Londres pour y découvrir le Jiu-Jitsu, qui parvenait en Europe.
De par ses compétences escrimistiques et le milieu dans lequel il évoluait, Jean Joseph-Renaud est vite devenu l’un des personnages les plus consultés en matière de duel. Il n’eut que quatre duels connus, un au pistolet et trois à l’épée : qu’il gagna tous (sauf au pistolet, duel sans résultat) ; mais il assista à plus de deux cents duels et en dirigea plus de quatre-vingts. Il a pu témoigner de son expérience.
Par cette conférence, il s’agit d’évoquer au travers de la vie de Jean Joseph-Renaud, l’escrime de son époque en pleine résistance à la sportivisation et le duel en ses derniers feux.
Partenaires
La ville d’Annecy mets à disposition de l’association le gymnase & la salle d’armes des Marquisats, où l’évènement se déroule chaque année
FAITS D’ARMES se positionne comme la référence incontournable pour tous les passionnés d’AMHE. Épée, Masque d’escrime, Gants de protection. Que vous soyez un pratiquant chevronné d’escrime historique ou un débutant attiré par le combat à l’épée, cette boutique spécialisée vous propose une gamme complète d’articles de qualité à des prix abordables.
Fabri Armorum a été créée par Ing. Jiří Kronďák depuis 1989 et est basée en République Tchèque. L’enterprise s’intéresse à la fabrication de répliques d’armures et d’armes pour les besoins de l’escrime historiques et les spectacles d’histoire vivante. Ils produisent également des articles de reconstitution – répliques de pièces de monnaie, accessoires de costumes et petits objets de décoration.
Black Fencer est né d’un besoin d’innovation dans le monde de l’escrime historique, essayant de combler les lacunes dans l’équipement spécialisé nécessaire à la pratique de ce merveilleux art martial. Leur objectif est d’offrir qualité et spécialisation, avec des designs innovants pour améliorer l’entraînement et les compétitions.
SIGIForge conçoit en Slovaquie des simulateurs pour les AMHE robustes et esthétiques, dont le design est basé sur les armes utilisées à l’époque médiévale. Leurs épées et autres accessoires ont été créés avec passion pour l’art. Créés pour tout type de pratiquant, voués à la restitution des anciens arts martiaux ou compétiteurs en tournoi, vous serez satisfaits de leurs produits.
Sparring Gloves est une entreprise Polonaise fondée en 2011 par Barbara Chlebowska. Leur contact permanent, leur présence lors des tournois et une production flexible répondant aux besoins des clients font de Sparring Gloves le leader du marché des fabricants de gants AMHE.
The Knight Shop International est l’un des plus grands détaillants et grossistes européens de répliques militaires et d’articles associés. Ils ont été créés en 1999 et sont devenus les leaders du marché britannique des épées, armures et armes historiques.
Basé en Haute-Savoie au pied des montagnes, là où naissent les légendes, l’atelier « ARTEM DIABOLI » a été fondé par l’illustrateur William BERNARD. Designer graphique et illustrateur depuis plus de 8 ans, l’atelier est la plateforme qui permet de transmettre ses valeurs et sa créativité aux inspirations fortes comme l’histoire (et plus particulièrement l’ère médiévale), la philosophie, le symbolisme, l’univers punk, métal et toutes les scènes underground, ainsi que tout ce que la pop-culture à pu apporter au registre épique, comme l’héroïc-fantasy (mention spéciale aux auteurs J.R.R Tolkien et T.Pratchett) et les univers post-apocalyptiques (mention spéciale à la saga « Mad-Max »).
Swag
Les T-shirts de l’évènement sont imprimés à la main en Haute Savoie par Artem Diaboli. Ils sont proposés au tarif de 20€. La commande se fait directement lors de l’inscription.
Repas Haut-Savoyard
Le samedi soir aura lieu un repas à la Brasserie St Maurice (dit, le St Mau) dans le centre-ville d’Annecy.
La réservation préalable, lors de l’inscription à l’évènement est obligatoire.
Tenue décente exigée. Tenue extravagante encouragée.
Affiche
Archives
Retrouvez ici les informations sur les précédentes éditions :
- 2023 – Marquisattack III – Apocalypse
- 2022 – Marquisattack II – Reloaded
- 2019 – Marquisattack HEMA Open